L'éminente ville de Goa justifiait déjà le titre de «rome de l'est» quand, au milieu du XVIe siècle, des épidémies de paludisme et de choléra entraînèrent son abandon. La Nouvelle Goa (Pangim) contre laquelle elle fut échangée devint le siège administratif de l'Inde portugaise mais fut annexée par l'Union indienne de la post-indépendance. Dans les deux cas, le temps et la négligence sont des maux qui font maintenant flétrir l'héritage colonial portugais.